Madagascar, pleine de vie et d'histoires... et "les hôtes de la forêt malgache"

Publié le par :

Résultat de recherche d'images pour "photo maki brun"

https://www.google.com/url?sa=i&source=images&cd=&cad=rja&uact=8&ved=0ahUKEwjG7-i43MzhAhUjtnEKHX2uD78QMwivAShiMGI&url=https%3A%2F%2Fwww.diconimoz.com%2Fanimaux%2Fmaki-catta%2F&psig=AOvVaw1pKNKtcWJghTnJPrcgnL8X&ust=1555232974061310&ictx=3&uact=3

Extraits/  "VIE SAUVAGE  - Au coeur de la forêt tropicale"- Editions Larousse

- Les hôtes de la forêt malgache -

"Le maki catta (photo ci-dessus) est le premier lémurien observé  par un explorateur, William Finch, en 1608 (lors de la 3ème expédition de la compagnie des Indes)

En raison des déboisements massifs pratiqués et l'érosion des sols (laquelle empêche toute opération de reboisement *), l'espèce est menacée d'extinction par la folie destructrice de l'homme

William Finch écrit : "Il y a de nombreuses bêtes, grosses comme des singes, avec de petites têtes et une grande queue comme le renard, des rayures noires et blanches et une fourrure très soyeuse"

https://fr.wikipedia.org/wiki/Syst%C3%A8me_de_Linn%C3%A9

Le premier a faire l'objet d'une classification en zoologie est celui que Linné a appelé Lemur catta (en 1758)

 

 

Des survols par satellite, dans le sud, font apparaître une réduction alarmante de la population. A certains endroits, le braconnage est également redoutable, là où les chasseurs lancent leurs chiens contre ces animaux.  C'est la cas dans la forêt de Bealoka.

Le maki brun est le plus résistant, en raison de ses capacités particulières d'adaptation à de nouveaux environnements et à l'activité humaine. 

Résultat de recherche d'images pour "photo hapalemur simus"

https://www.google.com/url?sa=i&source=images&cd=&cad=rja&uact=8&ved=0ahUKEwjKhdWy3szhAhUBUhUIHQgCA8IQMwiFASg4MDg&url=https%3A%2F%2Fwww.especes-menacees.fr%2Fle-grand-hapalemur%2F&psig=AOvVaw1LSzcmfzcw4jBPQDpQ0w8k&ust=1555233498060088&ictx=3&uact=3

 

 

Parmi les autres lémuriens, les Hapalemur simus n'a pas plus de chance que les makis. A Kanjavata, l'agriculture menace leurs forêts de bambous. De 1955 à 1990, plus de 50 % ont été transformés en rizières. Des c hercheurs ont alors vainement cherché des représentants de l'espèce dans cette zone.

Un programme de reproduction a été mis en place...

 

* "Les terres défrichées sont soumises à l 'érosion des pluies qui décapent le sol jusqu'à la roche mère. En outre, les terrains non retenus par les racines des arbres risquent de glisser et d'entraîner des catastrophes, comme des coulées de boue"

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article