Les dessous de l'élevage/ La réalité dépasse les films d'horreur que l'on peut imaginer/ Acceptez de lire l'article ci-dessous, acceptons de modifier nos mentalités et de remplacer nos habitudes par d'autres habitudes, novatrices et porteuses d'avenir...

Publié le par Passionsetbilletsactu

Source/ Article de la Fondation Assistance aux Animaux ( paru dan le n° 234 de leur magazine d'information LA VOIX DES BETES )

"En passant devant le rayon viande-poisson du supermaché où sont étalés escalopes, cuisses, filets, saucisses, haché ou jambon, qui parmi nous pense à la souffrance des bêtes derrière cet étalage indécent ? Et pourtout derrière ce que l'on appelle "la viande", il y un être vivant, un être qui est donc né, qui a été "élevé" et qui a été tué dans l'unique but de satisfaire "nos" palais.

Le jeu en vaut-il l chandelle ?"

"Actuellement ce sont :

Près de 90% de l'élevage des porcs ,

82% des poulets dits "de chair",

99% des lapins "de chair"

qui sont élevés en batterie"

*

"Les industriels nous mentent (et on accepte de se laisser berner peut être ) en omettant habilement de nous montrer comment sont traités les animaux d'élevage.

Ce serait bien trop choquant et il y a fort à parier que nombre de consommateurs cesseraient, immédiatement, de manger de la viande si on leur mettait sous les yeux les souffrances dont sont victimes les animaux. Dans notre esprit, la viande ne doit surtout pas être associée à la cruauté, à la souffrance, à la peur et finalement à la violence de l'abattage lui-même."

On nous raconte :

"Qu'avant de finir dans nos assiettes, la vache a gaîment gambadé dans les prairies,

Que le poulet a gratté le sol à la recherche de vers de terre,

Que le cochon s'est fait câliner par son éleveur..."

La vérité ? = "Des souffrances intolérables"

  • Les poules pondeuses/

"Les poussins mâles ne pondent pas ? = Inutiles. Par conséquent ? Ils sont violemment jetés sur des tapis roulant dès leur premier jour et finissent broyés vivants dans un mixeur géant. Mieux ? Ils peuvent aussi finir "lentement étouffés dans de grands sacs plastiques.

Les poules quant à elles sont entassées dans d'immenses hangars de cages, éclairés au néon, sans jamais aucun repos. Le fond de leur cage en grillage blesse leurs pattes. Elles ne peuvent effectuer aucun mouvement. C'est déjà " gravement abimées par leurs immondes conditions de détention" qu'elles "finiront leur misérable existence en aliment pour animaux."

  • Les veaux/

"Retirés de force à leur mère ou ou deux jours après leur naissance afin qu'ils ne boivent pas le lait destiné à la consommation humaine, ils sont isolés puis parqués dans d'étroites cages. Certains sont même enchaînés.

Le sol en caillebotis pour permettre l'évacuation des déjections leur blesse les pattes. L'ennui, le manque de leur mère provoquent une détresse intense.

Ils ne verront la lumière du jour qu'au bout de 6 mois, lorsqu'ils seront entassés sans ménagement dans le camion les menant à l'horreur de l'abattoir" ( et devenir les escalopes de veau sous barquette plastique...).

  • Les cochons/

"Entassés dans des boxes de béton, à mourir d'ennui, ils n'ont rien d'autre à faire que de se nourrir et se battre.

L'entassement, l'obscurité, l'hygiène et l'odeur irrespirable provoquent de graves maladies.

Ils seront conduits à l'abattoir vers 6 mois eux aussi, sous les coups parfois très violents des employés pour contraindre les plus faibles à se traîner jusqu'à la mort.

Une enquête à récemment démontré que plus de 4 porcs sur 10 présentaient des ecchymoses et des blessures dues aux coups reçus lors de leur transfert à l'abattoir."

"Epointage des becs, dégriffage des pattes, coupe des queues, rognage des dents, écomage des veaux, castration des porcs, veaux, chapons... Dans un souci économique, tous ces animaux subissent, en plus, d'affreuses mutilations à vif afin d'éviter qu'ils ne se blessent entre eux durant leur cauchemardesque existence.

Voilà les ignobles conditions d'élevage industriel où la maltraitance se dispute aux interminables et brutales conditions d'abattage que tout le monde connaît mais qui laissent nos gouvernants parfaitement indifférents."

D'ailleurs =" abattage ou torture" ?

Si les abattoirs n'ont pas de fenêtre, ce n'est pas pour rien. Personne ne peut savoir ce qui s'y passe. Un animal sur trois est abattu en pleine conscience.

En Ile de France, hormis les porcs, 100% des animaux sont égorgés à vif. Sanglé dans un tonneau à contention, violemment retourné, la tête douloureusement maintenue dans une mentonnière, la chair est profondément cisaillée dans d'atroces souffrances.

Terrorisé, l'animal se vide alors de son sang et de sa vie durant un très long moment. L'agonie peut durer 14 mn pour un bovin.

Les employés de l'abattoir ne vont pas attendre que la bête agonisante crache son dernier souffle. Il faut aller vite, toujours plus vite, pas de temps à perdre, la cadence est là... Alors l'animal qui se débat est suspendu de tout son poids par une patte, puis dépecé en toute conscience. Ne croyez pas qu'il s'agit d'une exception. La cadence d'abattage peut aller jusqu'à 70 bovins à l'heure ( soit plus d'un animal égorgé par minute) - Pour les moutons, cela peut monter jusqu'à 400 animaux à l'heure !

Or... un bovin met en moyenne 2 mn à perdre conscience après l'égorgement, contre 45 secondes à 1 mn pour un ovin. Le calcul est vite fait je pense.

La plupart du temps, les animaux voient leurs congénères qui viennent d'être suspendus et dont certains se débattent encore.

Cette vue de leurs semblables en souffrance est une source de peur intense.

En plus de la folle souffrance physique, les bêtes se trouvent dans une situation de détresse psycholoqique absolue" ( même pas de psy pour les animaux d'abattoirs - à noter que beaucoup d"entre nous ne supporteraient ce qu'on leur demande de supporter).

Une hypocrisie culturelle/

Pourquoi et comment l'homme a-t-il choisi les espèces qu'il mangerait et celles qu'ils chérirait ? Pourquoi en France, manger du chien est choquant alors qu'il constitue un plat traditionnel en Chine ?

En quoi est-il plus choquant de manger du cheval qu'une vache ?

Tous deux sont des êtres vivants, sensisbles, ils respirent, ils mangent, ils aiment, ils souffrent.

Ces interrogatiux auxquelles démontrent l'hypocrisie de ce système qui veut que certaines espèces soient tuées et mangées et d'autres choyées.

Certains (et là je me reconnais...) se donnent

Note personnelle/ J'ai eu infiniment de mal à lire et à vous retranscrire ces dessous immondes. Je comprends, comme jamais peut être, pourquoi les associations qui oeuvrent en notre nom "nous supplient" d'appuyer leur action. Je pensais axer mes billets dans l'immédiat sur le foie gras. Mais comment ne pas relayer ces lignes immédiatement. Comment ne pas se révolter, tous autant que nous sommes, contre cette réalité hallucinante ?

Publié dans FAITS D'ACTUALITE

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