"On est foutu, on mange trop"... ( pour reprendre une chanson d' Alain Souchon ). Comment choisir nos aliments...
" Nous avons tous - individuellement et collectivement - la responsabilité de choisir nos aliments avec notre cerveau"...
nous a rappelé l'année dernière un collectif de spécialistes des maladies cardio-vasculaires et de cancérologues.
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Un récent reportage télévisé ( fin 2010 ), évoquait le Texas. Les spécialistes s'accordaient à le dire :" les jeunes Texans auront une vie plus courte que celle de leurs parents".
Véritable contre-performance de l'évolution de notre société humaine. Et si ce n'était "que" les Texans... mais partout dans les pays riches la nourriture s'offre en surabondance.
Résultat des courses ( au sens propre du terme ! ) : surcharge continuelle pour notre organisme et gaspillage (monumental ).
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La sagesse scientifique nous incite pourtant régulièrement à :
- limiter notre consommation - notamment de viande, de graisses, de sel ( tellement employé encore dans l'alimentation industrielle ),
- manger le plus possible en revanche des fruits, des légumes,
- comprendre l'intérêt des céréales,
- ne pas hésiter à rajouter des noix, noisettes, cacahuètes... dans les céréales du petit-déjeuner par exemple ( source de graisses non saturées, de vitamine E et de magnésium. Ce dernier étant excellent pour lutter contre les arythmies cardiaques et le stress ),
- jus de raisin ( contribuerait à réduire le taux de "mauvais" cholestérol ),
- oignons, ail, brocolis, courges, échalote, poireau, ciboulette, ...
- thé vert et noir,
- soja ( sous toutes ses formes ) : tofu, farine, "lait" ( mise en garde donnée cependant : n'apporte pas le calcium contenu dans le lait de vache - En ce sens, ne convient pas aux enfants ),
- agrumes : orange, citron, pamplemousse... Avantage du pamplemousse : à raison de deux par jour, il éloignerait du cardiologue. Mais attention si on prend des médicaments : la pectine, contenu en particulier dans l'écorce du fruit, aurait pour résultat de "doubler" la dose des médicaments pris. Les conséquences peuvent évidemment être mortelles ( et les jus de fruit industriels utilisent la totalité du fruit, écorce et pulpe... ! ). Mieux vaut le savoir !
Enseigne d'un restaurant photographiée à Strasbourg, en 2008